This is it - Compte rendu du film suite à l'avant première du grand Rex

Notez que les articles consacrés au film sont susceptibles de contenir des informations allant à l'encontre de "l'effet de surprise" souhaité par certains de ceux qui n'ont pas encore vu le film.

Il y avait du monde, ce matin, au Grand Rex... et les fans n'étaient pas les seuls à avoir mis leur réveil de bonne heure. Les abords de la salle étaient envahis par les médias, de France Info à Europe 1 en passant par i-Télé et M6. Dans le hall, des stands de merchandising proposent au public des tee-shirts et des affiches. A 7h00 du matin, deux heures avant le début de la projection, le parterre de la salle et la mezzanine sont déjà bondés. On y retrouve une large majorité de fans, beaucoup portant pour l'occasion des tee-shirts à l'effigie du Roi de la Pop ou des fedoras noirs.

Une certaine anxiété est palpable chez certains, comme ce sosie, habillé de pied en cap comme son idole, qui confie que le film est teinté de deux nuances : l'une, douloureuse, rappelle l'absence de Michael Jackson et s'annonce comme une épreuve difficile à traverser ; l'autre, plus positive, fait du film une étape supplémentaire dans le deuil.

Une heure avant le début de la projection, un animateur prend place sur scène et tente de chauffer la salle. Une tentative qui échoue lamentablement, non pas parce que ladite salle dort profondément mais parce qu'elle est déjà survoltée et n'a en aucun cas besoin qu'on l'aide à faire monter le volume !

Les fans vont assister à une heure de projection des plus grands clips du Roi de la Pop sur écran géant et le spectacle se joue aussi bien à l'écran que sur scène et dans la salle. En effet, les danseurs de la "MJ Family", ce groupe de fans qui s'est constitué suite à la disparition de Michael Jackson pour perpétuer son héritage et son message, proposent des chorégraphies sur la plupart des titres. Tous sont amateurs mais ne manquent pas de passion et d'envie, ce qui se transmet bien vite aux spectateurs. Rapidement, les premiers rangs se lèvent et viennent s'agglutiner devant la scène. Ca chante, ça applaudit, ça crie, le tout dans une ambiance déchaînée. "Michael ! King Of Pop !" hurle la foule.

Beat It, Billie Jean, Earth Song - dont le public reprend en choeur les "What About Us" - puis Bad et Blood On The Dancefloor où un couple de danseurs proposent une chorégraphie sensuelle... On enchaîne avec Black or White où Dimitri, un jeune garçon, déploie des trésors d'énergie sous le regard admiratif de ses parents. "C'est mon fils", entends-je dans mon oreille droite tandis qu'à gauche, la MJ Family acclame le gamin.

Sur Heal The World, changement d'atmosphère. Le public s'est rassis. Certains, restés debout, agitent les bras en rythme; ils sont rejoints par d'autres qui entonnent le refrain à l'unisson. Peu à peu, la salle entière se lève et d'un même mouvement, termine la chanson bras levés, tapant dans les mains en rythme.

Loin de se laisser démonter par cette séquence riche en émotions, le public jaillit de nouveau de son siège comme un ressort lorsque les premières notes de Smooth Criminal résonnent dans la salle. On enchaîne avec Remember The Time, un journaliste d'i-Télé tente tant bien que mal de faire un compte-rendu des évènements, tâche difficile tant le bruit est assourdissant.

L'heure de projection s'achève sur Thriller avec une chorégraphie de groupe, puis l'ensemble de la "MJ Family" monte sur scène. L'animateur reprend le micro et ne peut alors empêcher un "couac" - prévisible, il faut l'avouer - de se produire. La campagne This Is Not It qui, on le sait, vise à amener les spectateurs à une prise de conscience au sujet du film en rappelant qu'il ne montrera pas le déclin de Michael Jackson sous l'effet du stress, était jusqu'ici plutôt discrète, quelques fans ayant été aperçus en train de distribuer des flyers à l'entrée.

Là, un fan prend le micro et décrète : "Souvenez-vous que Michael Jackson s'est tué pour faire le film que vous allez voir. Ne l'oubliez pas. Ne l'oubliez pas". Il tente de poursuivre, l'animateur s'efforce de récupérer le micro pour éviter l'incident diplomatique... et finit par y parvenir, non sans l'éloigner rapidement par un "Oui, oui, on a compris le message ! Merci". Il remercie alors AEG Live et Sony Pictures, qui "rendent possible cette avant-première". Le verdict de la salle est sans appel : huées et sifflements...

A 9h20, les tensions s'apaisent... un brin d'impatience, de crainte, d'amour, de regrets gagne les rangs... La salle plonge dans l'obscurité. This Is It.

(A suivre...)

Source : ElusiveShadow.com

Partie 3

Notez que les articles consacrés au film sont susceptibles de contenir des informations allant à l'encontre de "l'effet de surprise" souhaité par certains de ceux qui n'ont pas encore vu le film.

Sixième Séquence - Smooth Criminal - A l'écran, l'image passe soudainement en noir et blanc. L'année 2009 s'efface peu à peu, les contours parisiens de notre décor aussi... Nous voilà dans les années 30, à Chicago, dans un cabaret où une jeune femme court vêtue portant une robe noire effectue un numéro de music-hall. Dans le public, un homme. Un homme avec un chapeau de couleur claire, qui la regarde et esquisse un léger sourire. Alors qu'elle vient d'achever sa prestation, une femme confie à son compagnon - lequel a le parfait look du parrain mafieux - "Mais qu'est-ce qu'il fait ici, lui ?" S'ensuit une scène de poursuite digne des plus grands films d'action. Elle intègre quelques images du clip d'origine et, de temps à autre, mêle le résultat final au making of. Ce nouveau clip est de toute beauté, les angles de caméra choisis sont pertinents, on retrouve une attention portée aux détails qui n'est pas sans rappeler "Stranger In Moscow".

Le parrain finit par rattraper Michael Jackson et des coups de feu éclatent. C'est là que se joue tout le parallèle entre vidéo et scène. En effet, à cet instant précis, sur scène, des flashs crépitent et les lettres "SMOOTH CRIMINAL" se dessinent sur un panneau lumineux situé à l'écran. La caméra s'arrête un instant sur elles puis semble s'envoler au-dessus, filmant l'horizon : une ville illuminée à la tombée de la nuit.

La chorégraphie débute, grâce à un jeu d'ombres chinoises, tandis que des images de la vidéo sont projetées : on y voit notamment Michael Jackson s'enfuir dans une rue puis échapper à son poursuivant par une fenêtre qui éclate en mille morceaux sur son passage.

Septième Séquence - Michael Jackson, le perfectionniste / The Way You Make Me Feel - Petite parenthèse dans la course folle de ce concert... Une parenthèse travail et une séquence savoureuse entre l'artiste et son claviériste. Michael Jackson lui indique comment jouer la ligne de basse : "Comme si tu te traînais hors du lit". Le musicien obtempère... mais ce n'est pas assez "traînant" du goût du Roi de la Pop, qui insiste alors à plusieurs reprises, suscitant les rires des spectateurs. Contrôle créatif extrême d'un côté, notes enfantines de l'autre. En effet, le musicien demande soudain : "Dis si tu veux plus de châssis sur le morceau"... A ces mots, Michael Jackson éclate de rire en répétant "du châssis ?"

Il tient visiblement à donner au morceau une tonalité extrêmement langoureuse, ce qui explique qu'il insiste beaucoup sur les pauses dans l'instrumentation. En effet, la chanson s'appuie en grande partie, semble-t-il, sur la version "Grammy Awards 1988". Le décor est là encore époustouflant : les danseurs sont installés sur de gigantesques échafaudages. A l'arrière-plan, l'écran géant diffuse une image fixe de la ville que l'on avait découverte dans Smooth Criminal, cette fois-ci en plein jour.

Michael Jackson rappelle à chaque instant "qu'il est le maître et qu'il gouverne", pour plagier sans honte et sans reproche des propos de St Simon, ce qui suscite des rires appuyés dans la salle à chacune de ses interventions. "Là, c'est moi qui donne le signal", ordonne-t-il alors que les danseurs avaient pris des initiatives... "Tu joues la ligne de basse comme je l'ai écrite", avait-il demandé, un peu plus tôt, au claviériste. Puis il remarque que quelques mesures ont été enlevées à la fin du morceau et déplore cette décision car, selon lui, cela coupe la chanson un peu trop tôt. On entend Ortega répliquer "Je suis d'accord avec toi". Au Rex, la salle hurle de rire.

Les images de "The Way You Make Me Feel" ainsi dévoilées témoignent d'une réelle sensualité. Le duo de Michael Jackson avec sa partenaire s'accompagne d'une instrumentation quelque peu différente de l'ordinaire, marquée par la présence discrète des percussions.

Huitième Séquence - Medley Jackson 5 : Encore une fois, c'est l'occasion de faire un bond dans le temps. L'écran géant situé au fond de la scène recrée le décor des émissions de télévision où passaient les Jackson 5 dans les années 70 (Hollywood Palace, etc). Au Grand Rex, cette nouvelle scène est marquée par des applaudissements nourris, qui cessent brutalement lorsque s'intercale une vidéo de Michael Jackson enlaçant Kenny Ortega... L'émotion sous-tend tout le film et il suffit parfois d'une image pour la faire remonter à la surface...

Mais lorsque le Roi de la Pop en personne ordonne "Everybody clap your hands" (Que tout le monde frappe dans ses mains), l'heure n'est pas aux lamentations mais à l'obéissance. Et le Rex applaudit...

Dans ce medley, Michael Jackson râle. Il râle, oui, en bonne et due forme, et s'arrête de chanter au beau milieu du numéro. Il explique qu'il a été habitué à travailler en son direct et que son oreillette lui donne l'impression "de recevoir des coups de poing dans l'oreille". Il ajoute que son oreille doit s'habituer et discourt du sujet pendant quelques minutes, suscitant les rires des spectateurs.

Idem lorsqu'à l'issue d'une interprétation magistrale d'I'll Be There en live, il explique "Je ménage ma gorge" avant de sortir un son d'une pureté impressionnante. Son équipe de musiciens et techniciens, qui assiste à la scène, se comporte comme s'ils faisaient partie du public, agitant les bras en rythme tout au long de son interprétation.

Le film se poursuit ensuite par une séquence montrant l'entraînement des danseurs. La voix-off explique qu'ils s'entraînaient 3 fois par semaine en plus des répétitions afin de conserver leur forme physique. Stretch, pilates... mais aussi entraînement au crotch-grabbing (attrapage d'entrejambe). Si, si, vous avez bien lu... cela vaut son pesant de cacahuètes, sans mauvais jeu de mots ! Lorsque la coach s'écrie "Moi j'ai rien à attraper !" l'hilarité est complète.

Après "Shake Your Body", Michael Jackson enchaîne sur "I Just Can't Stop Loving You". Sa maigreur est beaucoup plus prononcée, difficilement masquée par une veste à épaules en pointe. L'interprétation est plus sensuelle, proposant beaucoup de corps à corps avec la danseuse. Il achève le titre a cappella par des vocalises : "Because... I just can't stop... I just can't stop"... Lorsqu'il prononce enfin les mots "Loving You", la salle entière applaudit.

Insatisfait, Michael Jackson commente : "Je ne dois pas pousser ma voix, je m'échauffe pour le jour J".

Ces piqûres de rappel permanente sont un garde-fou : elles rappellent en effet que le film n'est basé que sur des répétitions et non sur un spectacle achevé. Si elles sont pour l'artiste une manière d'exprimer son perfectionnisme, elles préviennent aujourd'hui les critiques qui pourraient arguer que la performance de Michael Jackson n'égale pas le niveau de ses précédentes tournées.

(A suivre)...

Source : ElusiveShadow.com

Partie 4

Notez que les articles consacrés au film sont susceptibles de contenir des informations allant à l'encontre de "l'effet de surprise" souhaité par certains de ceux qui n'ont pas encore vu le film.

Neuvième Séquence - Thriller - Tout comme Smooth Criminal, Thriller a fait l'objet d'un lifting complet afin d'adapter la vidéo en 3 dimensions. Désormais, celle-ci montre l'arrivée d'un profanateur dans un cimetière 3D d'un réalisme stupéfiant. Michael Jackson, une sucette dans la bouche, assiste au tournage et commente les images d'un air satisfait. Le film dévoile un couple de marionnettes, "les jeunes mariés d'outre-tombe", qui devaient se promener au-dessus des spectateurs de l'O2 Arena, deux corps squelettiques et décharnés vêtus de blanc... On découvre aussi la séquence du lustre ensorcelé que nous abordions hier dans un article. La scène est absolument splendide et, si elle évoque un univers maléfique, elle reste malgré tout baignée d'une féérie inimaginable. Toute personne ayant un jour visité Disneyland aura une pensée pour l'attraction "Phantom Manor" en voyant certaines scènes. Une attraction que Michael Jackson avait justement testée en 2006...

Des chauves-souris s'envolent, des zombies sortent de terre, une femme à la peau diaphane tenant un chandelier s'approche de l'écran. Un pirate s'avance, menaçant, une épée à la main. Une araignée géante semble jaillir de l'écran... et immédiatement, sa version "matérielle" arrive sur scène. Michael Jackson sort du corps de l'araignée et débute la chanson.

Le couplet de Vincent Price resté inédit sur l'album Thriller est utilisé. La scène est envahie par la fumée et intègre alors une séquence du film "Ghosts" : celle où l'ensemble des zombies "descendent du plafond" sur fond de musique émouvante... Mais sans attendre, le Roi de la Pop prend place sur la passerelle centrale de la scène, qui s'élève. La chanson "Threatened" débute, proposant une instrumentation différente de celle qui figure sur l'album Invincible.

Enfin, les forces du mal sont renvoyées d'où elles viennent (ou pas), grâce au rire sardonique de Vincent Price qui conclut la séquence.

Dixième Séquence - Tests et making of - Le film "This Is It" dévoile ensuite quelques-uns des passages marquants prévus pour le concert, à commencer par des effets pyrotechniques et un mur de feu : il s'agit littéralement de langues de feu qui peu à peu se propagent sur toute la largeur de la scène. Le résultat est saisissant. Le film montre ensuite une séquence pole dance faisant intervenir des acrobates, puis les costumiers Michael Bush, Dennis Tompkins et Zaldy interviennent brièvement. Zaldy explique que pour la tournée, il a été amené à travailler avec des partenaires de toute la planète. "C'est ça, Michael", résume-t-il.

Vient ensuite un autre moment amusant du film : le test de la célèbre grue utilisée par Michael Jackson pour se promener au-dessus des spectateurs pendant "Beat It". Ortega lui propose de faire un test, le Roi de la Pop obtempère et la grue décolle... à mi-hauteur. Il pousse un petit cri de satisfaction et les spectateurs du Grand Rex hurlent de rire. Kenny Ortega précise "Là, Michael, c'est la position basse". D'un ton boudeur, il répond : "Pourquoi tu me dis ça, Kenny ? Tu me charries ? Pff... il sait que je veux aller plus haut !"

Onzième Séquence - Rock 'n roll - Le film se poursuit par l'interprétation de Beat It. Encore une fois, le morceau semble chanté en live. On profite alors de très beaux plans de caméra sur les choristes, les musiciens et le Roi de la Pop lui-même. On apprend que la mise en scène du numéro prévoit que Michael Jackson retire sa veste à la fin, laquelle doit se mettre à brûler.

La guitariste Orianthi Panagaris est brièvement interviewée, ainsi que quelques musiciens. Bashiri Johnson, le batteur, déclare : "Jouer avec Michael est un véritable plaisir". Jonathan Moffett ajoute "Il va chercher ses émotions plus loin que les autres".

Sur Black Or White, Michael Jackson arrive depuis une plateforme située sous la scène. A la fin de la chanson, il demande à Orianthi de tenir une note la plus aigüe possible et, pour lui montrer ce qu'il attend d'elle, produit lui-même des sons suraigus qui flirtent sans doute avec la limite supérieure de ses capacités vocales.

Douzième Séquence - Earth Song - C'est la dernière pièce maîtresse en 3D présentée dans le film. La chanson fait l'objet d'un accompagnement vidéo de toute beauté, montrant des paysages de forêts, des nuages, des chutes d'eau, un lever de soleil sur la planète. En voix-off, Michael Jackson explique à quel point il est attaché à la nature, aux arbres, au renouvellement des feuilles... et à quel point il est dérangé par la destruction des ressources naturelles.

Une petite fille marche dans la forêt, entourée de papillons. Mais brutalement, le ton de la vidéo change : les papillons disparaissent peu à peu, le dernier d'entre eux tombe raide mort sur le sol et la petite fille s'allonge elle aussi dans l'herbe, immobile. Michael Jackson arrive sur scène et se met à chanter. Le fait que la musique soit interprétée en live et non diffusée sous forme d'une bande son pré-enregistrée donne au titre une tonalité très différente de l'ordinaire.

Ces images feront sans nul doute plaisir à un fan : en effet, Michael Jackson porte un tee-shirt avec l'inscription "Curls for my gurls" (Des boucles pour mes chéries)... Ce tee-shirt lui a été offert par un fan désireux de faire une allusion humoristique à son changement de coupe de cheveux, quelques semaines avant sa mort, pour un retour aux cheveux bouclés que beaucoup de fans féminines souhaitaient.

Le chanteur monte sur la grue tandis qu'à l'arrière-plan, les images d'animaux s'enchaînent (éléphants, orque, etc). Au son de "What About Us", la vidéo montre la destruction progressive de la forêt. Un bulldozer finit par faire son entrée sur scène et s'avance vers la salle mais Michael Jackson s'interpose. De nouveau, on entend sa voix délivrer un message en faveur de la protection de l'environnement. "La planète est malade. Fiévreuse. Si on ne la soigne pas maintenant..." commence-t-il, avant de rappeler que chacun est impliqué.

Peu à peu, le rythme endiablé qui a marqué tout le film s'apaise... et c'est là qu'intervient Billie Jean. Loin d'être le point culminant du film, la chorégraphie semblait clairement répétée uniquement pour les placements. Michael Jackson ne s'y investit absolument pas et l'avoue franchement à la fin, en déclarant : "Ca vous donne un aperçu". Kenny Ortega lui ordonne : "Prends un peu d'eau" et il s'éloigne en chantant "De l'eau... De l'eau..." suscitant des rires dans la salle.

L'émotion reprend ses droits peu à peu lorsque les images montrent Michael Jackson et toute l'équipe, en cercle, se donnant la main. La scène se joue un samedi soir et, avant d'accorder à ses collaborateurs une courte journée de repos, le Roi de la Pop les rassure : "Pas besoin d'angoisser. [Les fans] veulent juste des moments magiques". Il rappelle à tous qu'ils ont un message important à transmettre.

Dans la scène suivante, montrant un pas de danse qui rappelle les démonstrations de sécurité dans les avions et l'indication par les hôtesses de l'air de l'emplacement des issues de secours, il confie : "J'adore quand elles font ça. J'adore ça".

Sans transition, le film s'achève par "Man In The Mirror"... et ces mots, qui s'inscrivent sur l'écran : "Michael Jackson - King of Pop - L'amour est éternel". Dans la salle, le film recueille une standing ovation.

Source : ElusiveShadow.com

Waouh!!!! J'ai pas tout lu, parce que premierement je veux garder un peu de surprise et y a beaucoup à lire!!!! Mais j'ai vraiment hate de ressentir toute l'émotion que Mike a voulus nous faire passer!!!! Je vais surement avoir un mélange de tristesse et de joie, on verra bien, mais j'ai hate!!!

J'ai vraiment hâte d'y aller

Vous ne serez pas décues ^^

Je confirme que ceux qui vont aller le voir prochainement ne seront pas déçu, il est magnifique!!!!!!