I know you are the King. [PV Michael]

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I Know you are the King
PV Mon père ^^

Un vent frais annonça l'arrivée du soir, avec un immense sourire sur le visage, je franchis le seuil de la maison pour me diriger je ne sais trop ou. A vrai dire, je n'avais pas vraiment de destination. J'allais devant moi, avide de trouver une nouvelle melodie pour peut être tenter de faire mieux que la dernière fois. C'est pour ça que je m'étais muni de ma guitare classique, d'une feuille a portée et d'un crayon de papier, lui même contenant une gomme. Tenant fermement ma guitare sous mon bras, je m'avancer vers les attractions. Il était clair qu'aucun gamin ne viendrait a cette heure voyant celle -ci, il était bientôt minuit. Il ne faisait pas froid, mais ni trop chaud non plus, mai j'avais tout de même sur moi un pull. Un que j'avais soigneusement piquer a mon père avant de sortir. Ouais, j'avais eut la flemme d'aller chercher le mieux, vu que le sien était juste sous ma main... Je m'assis donc sur le rebord des auto -tamponneuses, pris ma guitare, et commençais a jouer une musique, a improviser... Je m'arrettais soudainement, et me retournais. Les auto tamponneuses. Je me rappelais que j'en fesait avec mon père, et que j'aimais ca... Je revenais vers ma guitare et ma portée, Décidément, aujourd'hui je n'arriverais a rien. Je posais ma guitare a terre ainsi que le reste de mes instruments. Aujourd'hui je n'avais pas envie de travailler.
Aujourd'hui je voulais avoir une soirée tranquille. Un bruit résonna derrière moi, declanchant une vague d'angoisse et une chaleur désagréable dans le total de mon corps. J'étais sur les nerfs, mais je ne savais pas vraiment pourquoi. Je passais toutes mes journées a travailler et ça, même jusqu'à perdre contact avec certain de mes proches. Ma respiration s'accéléra, et je tournais la tête pour apercevoir l'être qui m'avait causer cette frayeur.

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Ce soir là, Michael n'était pas trop dans son assiette, il n'avait rien mangé, et pourtant il n'avait pas faim. Il avait mal au ventre, stressé par tout ce remu ménage qui se passait à Neverland. Il aurait voulu pouvoir se reposer un journ seul et tranquille dans son lit, mais à Neverland, il était gouverneur avec ses frères et soeurs, et chaque jour il y avait toujours plus à faire. Il devait être aux alentours de minuit, tout était calme, Michael aimait se promener comme un fantôme dans le domaine. Il marchait seul, il ne savait pas où il allait... Il se retrouva bientôt près des auto-tamponneuses. Tout était calme et silencieu, exepté la musique de fond du manège qui tournait en boucle. Quand il s'approcha de plus près, il vit son fils jouer à la guitare, il s'arrêta quelques instants dans les fourrés pour mieux l'écouter. Puis il vit que Prince avait posé sa guitare. Pas d'inspiration ? Ca lui arrivait aussi quelques fois. Il fit un pas en avant pour le rejoindre, et sous ses pieds, une brindille craqua. Il vit son fils se retrouner avec angoisse, et Michael avança pour ne pas l'effrayer encore plus. Il lui fit un sourire gêné et s'assit à ses côtés.

-Alors...pas d'inspiration ce soir ? Moi non plus parfois...

Il mit sa main sur son épaule, histoire de faire paternel. Ses enfants, c'était tout pour lui, Prince avait été le premier de ses trois amours.

-Moi ce soir, j'me sens pas très bien, j'aime pas toutes ces choses qui se passent, ça me met mal à l'aise. Surtout que ces enfants ont vraiment l'air d'avoir été maltraité...

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Je fus soulage de voir que Michael m'avait rejoint. Mon visage se décontracta, et je laissais apparaitre un fin sourire chaleureux sur mon visage. Il s'approcha et parla de sa voix calme et parfaite. J'aurais autant pu dire que mon père était tout pour moi, c'était vrai. Mais il y avait aussi mes oncles, ma sœur, mon frère... Je me demande ou il était a présent. Je ne l'avais pas vu a la maison, je pensais qu'il était avec Michael, Surement autre part, ou peut être avec Paris,,, Comment savoir. Je revins soudainement a la réalité, et je remarquais seulement que je n'avais pas répondu aux paroles de mon père.

<< Non, pas vraiment... Chui crevée. >> terminais -je avant de me frotter les yeux.

Michael posa sa main sur mon épaule. Je frémis, mais son contact chaleureux et paternel me rassura. Je m'approchais un peu plus de lui. Avec lui j'étais bien, avec lui j'étais a l'aise. Curieusement, pas cette fois, Ce ne fut que lorsqu'il parla pour la seconde fois que je compris pourquoi. Il n'était pas bien. Et ça, bah ça c'était pas bien...

<< C'est pareil pour moi. En faite... >>

Je m'arrêtais. N'osant continuer. J'affichais un air embarrasser et baissa le regard. Quelque secondes passèrent, je remontais la tête et fixais devant moi, reprenant d'une voix enrouée et brisée.

<< Ça me fou les boules... Il faut faire attention, très attention... attention a Blanket, a Paris... A toi ! >>

Je ne pu cache la panique a partir du nom de mon frère. J'avais l'impression d'agoniser. Les larmes me montèrent aux yeux. J'étais vraiment, vraiment fatigue.
Ça m'arriver jamais ce genre de trucs...
Je soufflais un fois, deux fois, trois fois... J'étais calme.

<< Papa ...? >>

Repris -je d'une voix fronçant l'angoisse. Quelque chose me tracasse, et je comptais sur mon père pour m'aider...

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Michael sentit que Prince n'allait pas vraiment bien... Comme lui, il devait sentir une menace. Il n'aimait pas voir son fils comme cela, ni aucun autre enfants d'ailleurs. Mais Prince comptait quand même plus que les enfants des autres, c'était normal. Il les aimait plus que tout au monde, c'était les héritiers du royaume, les héritiers de tout ce que lui et sa famille avaient construit, Michael devait plus que tout veiller sur eux.

-Moi, ça n'a pas vraiment d'importance... Prend plutôt soin de toi et de ton frère et ta soeur.

En réalité, Michael avait peur pour eux, avec tout ce qui se passait en ce moment à Neverland... Le chanteur craignait vraiment qu'un de ses enfants subisse le même sort que les autres, et franchement, les gosses qui y étaient passés n'étaient pas revenus en très bonne état. Il n'avait aucun envie que ses enfants deviennent comme ça...

Il vit que Prince n'était vraiment pas bien, il commençait à s'étouffer... Puis il réussi à se raisonner. Michael aussi faisait des crises d'angoisses quelques fois, et il lui arrivait aussi de ne pas pouvoir se raisonner et de passer des journées entières à stresser pour rien et à ne pas réussir à se raisonner que tout allait bien... Et maintenant que des choses étranges se passaient, Michael craignait que ses crises recommencent.

Quand son fils l'appela Papa, Michael ressentit une énorme bouffée d'amour. Ce mot qu'il n'avait jamais pu prononcer était devenu comme une hymne pour le chanteur. Et il était énormément content qu'on l'appelle comme ça désormais, il adorait ce mot, il voulait qu'on le lui dise chaque jour et tout les jours un peu plus que les autres jours. En fait, il était carrément obsédé par ce mot, mais ça ne se voyait pas, parce qu'être obsédé par un mot, ça n'est pas grave. Et à chaque fois qu'un de ses enfants l'appelait comme ça, il réalisait à quel point il les aimait.

-Oui ? Qu'est-ce qu'il y a ? Quelque chose ne va pas ?

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Si pour moi mon géniteur était le joyau de la vie, je pouvais être sur que c'était réciproque pour lui. Je fixais le sol, et me rapprocher encore un peu de lui. Hésitant, je décochais un regard baigner de larmes vers lui. Ces crises d'angoisses étaient insupportables. Je fronçais les sourcils et finis par mâcher mes mots, assez distinctement.

<< Papa, il est inutile de te dire a quel point tu m'est cher. Et c'est pour cela que je te demande, je te supplie de m'informer si jamais tu a besoin d'aide, dans quel domaine que ce soit. >>

Je tenais a bien formuler ma phrase, et a la dire distinctement. Je le fixais en attendant l'affirmation. Je m'inquiéter de plus en plus pour lui, car il était certain pour moi comme pour ma sœur que Michael tenterait de faire la moindre de chose pour résoudre le problème suivant : le cas et les disparitions des enfants. Et ça, ça pouvait être dangereux, et il n'y avait discussion sur ce point. Lentement, je commençais a devenir totalement obsédé par ces disparitions. J'étais tomber sur un de ces enfants qui avaient perdus la parole, un jeune amis a moi. Quand je l'eus aperçus, j'étais effarer. Il était effrayant, son cas m'avais littéralement choque. Et tout ça, tout ça ne venait pas tout seul. Il devait y avoir une explication logique a tout.

<< Je t'aime Papa, te rappelles tu combien de fois je te l'ai dis ? >>

Me revint soudainement tout les jeux que nous avions fait lorsque j'étais encore très jeune, avec Paris, Blanket n'était pas encore avec nous. Papa me conter des histoires, sur Peter Pan, et tant d'autres... Et lorsqu'il avait eut besoin de moi, je m'étais occuper de Blanket et de Paris, mais pas assez de lui, et j'avais eu des remords...

Un jour, Michael avait dit devant les cameras, " Je donnerais ma vie pour mes enfants, ils sont tout pour moi. " Et je le croyais sur parole. C'est pour cela qu'il ne fallait qu'il ne nous arrive rien, du moins pendant cette période difficile. Et j'allais y veiller.
Un jour, Michael avait dit devant les cameras, " Chez moi, a la maison, on n'avait pas le droit d'appeler notre père 'papa'. C'était Joseph. Pour mes enfants c'est le contraire, il m'appelle 'papa'. " Et c'est bien pour cela que je tenais cette règle...

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Michael regarda son fils tendrement. Il avait tellement grandit... C'était un homme à présent. Et il était fier de ce que Prince était devenu. Il avait un fort caractère, et il était toujours resté fidèle à lui-même.

-Pour l'instant, je n'en sais pas plus que toi Prince. Je ne suis pas vraiment capable de dire que tout va s'arranger, tout simplement parce que je n'en sais absolument rien. Et je ne vais pas te mentir en disant que je suis confiant, parce que j'ai moi-même peur de cette chose aussi maléfique soit-elle.

Michael ne se confiait jamais vraiment, mais il n'aimait pas voir son fils dans cet état, et ça lui faisait de la peine de le voir comme ça. Alors il lui avait avoué sa position, même si il aurait préféré que personne ne soit au courant. Il préférait garder sa douleur et ses doutes pour lui-même, plutôt que de faire de la peine à tout le monde en la partageant.

-Je crois Prince, que jamais je ne pourrais aimer quelqu'un plus que toi, ta soeur et ton frère. Sache que tu es plus que tout pour moi, et ne crois pas que ce sont des paroles en l'air...Je cherchais ce trésor, et je l'ai trouvé en vous.

C'était vrai, ils étaient plus que tout pour lui. Jamais il ne tolèrerait qu'on fasse du mal à un de ses enfants.

-Tout les trésors ne sont pas fait d'or et d'argent.

Il marqua un temps et pensa à Paris et Blanket. Il avait vu Paris quelques temps plus tôt dans la soirée, mais il supposait que Blanket était à la maison en train de dormir. Il ne se faisait pas de soucis pour lui, il savait que Blanket était un garçon responsable et lui faisait confiance. Depuis que les disparitions avaient commencé, il faisait encore plus attention qu'avant.

-Ne te fais pas de souci, cette..."chose", on va la trouver et on va lui faire sa peau. Façon de parler évidemment.

Il haussa les épaules, il ne serait jamais capable de faire du mal à quelqu'un, fusse le plus grand tortionnaire d'enfants du monde. Il détestait la violence.

-Plutôt, VOUS lui ferez la peau.

Il souris et secoua la tête.

-En tout cas, ne te fais pas de soucis.

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[alors la chui a la campagne et y a meme pas le dictionnaire francais pour corriger mes fautes, alors desole ca sera vraiment n'importe quoi xD,
Desole aussi que sa soit pas tres long, mais c'est la galere pour repondre ici...
et en passant, j'adore ta facon de RP [L] ]

Je lachais un sourire tendre et chaleureux. Dans tout les cas Michael savait, et arrivait toujours a me rassurer. En ecoutant toujours et encore la raisonnance des mots de mon pere dans ma tete, je reflechiassais pleinement a la facon de laquelle me venger sur cette... chose. Car par rapport a mon pere, la colerre montait en moi particulieremment vite, et une fois partie l'arretter devient telllement difficile que j'oublie souvent d'essayer. Je m'inaginer deja en train de truicider la tete du bonhome -car oui je pensais que c'etait un humain- le defigurer et lui rappeller que les monstres ne sont pas toleres ici. Je laisser presque un sourire malsain sur mes levres. Et il ne me fallut que quelque secondes pour que les remords surgissent. Comment avais -je pu rien que une seconde penser cela ? La honte me surbmergea soudaiment, et un sentiment de malhonnetee m'envahit.

" Merci... Papa..."

terminais -je en repenant mes esprits, bien que ma haine envers cette chose n'avait que tres peu diminue. Papa nous repeter tout le temps a quel point il nous aimer, autant soit t-il que tout l'amour qu'il avait accumule toute sa vie, il nous l'avait donner, un cadeau, le plus beau du monde...

" Je pense que ca ne posera aucuns problemes, "

repondis -jem enfin en levant les yeux vers Michael. J'avais toujours voulu lui ressembler. Autant physiquement que mentalement, mais apparemment je n'etais pas dut a etre un ange comme lui, juste une partielle et vulgaire copie. Mes pensees virvolterent encore une fois vers Blanket. Mais je ne m'inquiete plus pour lui, j'etais sur qu'il etait entre les bonnes mains de Paris...

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Michael esquissa un sourire. Il aimait ses enfants et l'entendre dire ça, même si c'était de la violence le faisait rire. Car il détestait la violence, mais là s'en était trop. Cette "chose" commençait à lui taper sur les nrefs, et il ne savait plus vraiment quoi faire. Puis son sourire retomba. A quoi ça servait de sourire ? Des enfants étaient maltraités et lui rigolait...
Et puis après tout, se morfondre ne servirait pas à grand chose non plus. Prendre des décisions sera la meilleure solution. Regarder les choses se passer n'avancerait à rien.
-Tu sais, la violence ne résoud rien...
Michael regarda la lune briller.
-Sauf dans certains cas.
Michael mis sa main sur l'épaule de son fils et détourna les yeux de la lune.

-Quoi que tu fasses, dises, reste toujours fidèle et intègre à toi-même.

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Je ne me pu m'empêcher un sourire. Il ne fallait pas des heures pour comprendre à quel point moi, Paris et Blanket nous tenions à notre père. Oui, nous l'aimions tellement... tellement. Je m'enfouis de nouveau dans mes pensées. Je fixais la lune avec intensité. Qu'es-que tout cela voulait dire ? Pourquoi la lune était telle si belle, et pourtant si loin de nous ? Et pourquoi quand quelque chose est tellement proche nous n'arrivons que très peu à distinguer sa beauté ? Je serrais les dents à la seule pensée de Tom. Je revins du regard vers Papa.

- Merci,... Papa...

Sur ce je me blottis à lui comme quand j'avais cinq ans, comme quand j'étais tout petit. Un "câlin' comme ont le dirait. J'avais peur, peur de ce qui pouvait arrivé. Peur de devoir partir à cause mon futur métier que je détester un peu plus avec chaque nouvelle chose que j'apprenais. Peur de perdre ce qui m'était le plus cher. Car aujourd'hui, j'avais compris à quel point les trésors sont difficiles à conquérir. Kelly m'avait plaquée hier soir, et ma douleur était tellement intense que les larmes me montèrent aux yeux. Je respiré profondément pour retenir mes larmes, et eut un dernier sourire avant de prononcer d'une voix tremblante :

- Te rappelle-tu quand Paris avait neuf ans, et que nous avions pris la petite voiture de Golf, et que comme je ne savais pas freiné et que je l'avais prise sans ta permission je fonçais droit dans le Lac ? Tu à couru au moins un kilomètre jusqu'à nous rattraper... Avant je n'avais pas compris pourquoi tu t'étais inquiété. Aujourd'hui, oui.

Magnifique changement de sujet, je sais. Mais il me fallait une raison pour oublier Kelly et les paroles qu'elle avait prononcée hier. Je restais collé à mon père, un petit sourire aux lèvres. Me revenait en tête plein d'aventures avec mon frère et ma sœur, dont la majorité Michael n'était même pas au courant...

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Michael sourit et rigola quand Prince lui raconté l'épisode du lac. Oui il s'était inquiété ce jour-là, et il se rappellait même que malgré sa bonne humeur habituelle avec eux, il leur avait bien remis les idées en place ce jour-là... Il détestait les sermoner, mais ça avait été nécessaire, il ne pouvait risquer que ça recommence, et pire quand il était absent. Il ne devait rien leur arriver, sinon il ne pourrait pas le supporter. Il était d'accord pour leur laisser le maximum de libertés, mais ils ne devaient pas oublier que la vie est précieuse, et qu'il faut en prendre soin. Même si Michael les laissait s'exprimer dans le ranch, il n'avait pas oublié d'en faire des personnes sensées et intelligentes. Il s'était promis d'en faire des enfants "normaux", dans la mesure du possible bien sur. Il était assez fier du résultat, ses enfants étaient polis et ne faisaient pas n'importe quoi. Il avait réussi à les éduquer comme il le voulait.

Oui ce jour-là j'avais perdu un kilo au moins, dit-il ironiquement, j'espère que la punition que je t'avais donné t'avais servie de leçon

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J'eus un sourire, puis éclatais de rire. Bon sang ! Oh oui ! La punition avait était sévère, cette fois-ci !

- N'empêche, t'a couru plus vite qu'une autruche.

Je relevais la tête et regardais avec envie les autos-tamponneuses. Je fis un clin d'œil à Michael, et l'obligé à ce relever puis à pénétré dans l'enceinte de jeu.

- Dix balles que t'abandonnes.

J'allumais vite fais bien fais le courant dans le jeu et pris des jetons, j'en inséré alors dans mon auto-tamponneuse, alluma le moteur et attendit que mon père soit près. Je plissais le nez, puis fronça les sourcils. Ça s'annonçait dément !

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